Le calendrier 2020 avait pour titre provisoire Deux mille rien. Deux mille ben avait gagné, malgré le mensonge qu’il est devenu.
Ce présent calendrier est le résumé de cette année fantôme, ou presque. Une année qui était sur pause en apparences. Une année durant laquelle ont bouillonné des émotions, des prises de conscience, des créations, des changements. Une année où on a dit stop. Où il n’y avait rien. Rien et un infini de transformations.
Maintenant, je dis bienvenue Deux mille vingt défunt et bienvenue demain.
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janvier: Avant d’oublier
tshishe-pishimᵘ: Eshkᵘ eka uni-tshissitutamakᵘ
février: (Em)porte
epishiminishkueu: Tshitutata
mars: Tout dans rien, ici
uinashku-pishimᵘ: Kassinu tshekuan, apu tshekuan, ute
avril: Prends mon souffle
shiship-pishimᵘ: Utina nineneun
mai: L'euphorie du quotidien
nissi-pishimᵘ: Tshishkueienitamun eshakumitshishikua
juin: Un délire endormi
uapikun-pishimᵘ: Tshishkueienitamu-nipeun
juillet: On sait pu
shetan-pishimᵘ: Apu tshissenitamak
août: Je peux?
upau-pishimᵘ: Nika tshi a?
septembre: À l'aube des déceptions
ushkau-pishimᵘ: Ka nekatenitamun uapan
octobre: Reste
uashtessiu-pishimᵘ: Tshiam ta
novembre: Sombre (dans le bruit)
takuatshi-pishimᵘ: Nipatshishin (itueuetin)
décembre: Si j'étais là, j'y rêve
pishimuss: Nete etaian, nipuaten
